Une enquête de Sport/football Magazine a révélé que près de 70 pourcent des joueurs de Jupiler Pro League pensent que les gays n’ont pas leur place en Jupiler Pro League. Het Nieuwsblad a mené son enquête et a été à la rencontre de certains joueurs.
Geert De Vlieger (FC Bruges): « Jouer au football, c'est ce qui compte. Donnez-moi un attaquant qui est gay et chaque année met 40 buts ».
Didier Dheedene (Germinal Beerschot): « Je n'ai aucun problème avec cela tant qu’ils se comportent bien dans les douches ».
Frederik Boi (Cercle Bruges): « Les joueurs qui pensent qu'il n'y a pas de place pour les gays ont un esprit étroit. Laissez-les regarder mon cul ».
Kevin Roelandts (Zulte Waregem): « Cela m'a surpris, car cela reste un tabou dans le football. Pour moi, cela ne pose pas de problème si ils sont discrets et ne pas s’embrassent pas en public. Mais je ne connais pas tout un gay dans le football ».
A la fédération, aucune mesure ne sera prise. « Que pouvons-nous faire? » explique Jean-Marie Philips. « Nous avons signé une charte qui explique que nous nous engageons à prendre des mesures si l'homophobie existe, mais nous ne pouvons pas interdire les joueurs de donner leur point de vue personnel » explique-t-il dans la Gazet van Antwerpen et Het Nieuwsblad.
Il reprend : « Que pouvons-nous faire pour briser le tabou? Rien pour le moment. Ou devrions-nous sortir des banderoles avec des slogans tels que « Welcome's gay? ». Je dois admettre que durant toutes ces années, je n'ai jamais rencontré d'hommes gay dans le football. Je n'ai même jamais entendu parler. C'est en contraste avec le football féminin où vous constamment des joueuses qui sont gays ».
Il conclut : « Non, la seule action que la fédération peut entreprendre est de souligner que l'homophobie est inacceptable. Tout le monde fait dans sa vie privée ce qu'il veut. Je n'ai aucun problème avec cela. L'homosexualité n'est pas une maladie ».
Geert De Vlieger (FC Bruges): « Jouer au football, c'est ce qui compte. Donnez-moi un attaquant qui est gay et chaque année met 40 buts ».
Didier Dheedene (Germinal Beerschot): « Je n'ai aucun problème avec cela tant qu’ils se comportent bien dans les douches ».
Frederik Boi (Cercle Bruges): « Les joueurs qui pensent qu'il n'y a pas de place pour les gays ont un esprit étroit. Laissez-les regarder mon cul ».
Kevin Roelandts (Zulte Waregem): « Cela m'a surpris, car cela reste un tabou dans le football. Pour moi, cela ne pose pas de problème si ils sont discrets et ne pas s’embrassent pas en public. Mais je ne connais pas tout un gay dans le football ».
A la fédération, aucune mesure ne sera prise. « Que pouvons-nous faire? » explique Jean-Marie Philips. « Nous avons signé une charte qui explique que nous nous engageons à prendre des mesures si l'homophobie existe, mais nous ne pouvons pas interdire les joueurs de donner leur point de vue personnel » explique-t-il dans la Gazet van Antwerpen et Het Nieuwsblad.
Il reprend : « Que pouvons-nous faire pour briser le tabou? Rien pour le moment. Ou devrions-nous sortir des banderoles avec des slogans tels que « Welcome's gay? ». Je dois admettre que durant toutes ces années, je n'ai jamais rencontré d'hommes gay dans le football. Je n'ai même jamais entendu parler. C'est en contraste avec le football féminin où vous constamment des joueuses qui sont gays ».
Il conclut : « Non, la seule action que la fédération peut entreprendre est de souligner que l'homophobie est inacceptable. Tout le monde fait dans sa vie privée ce qu'il veut. Je n'ai aucun problème avec cela. L'homosexualité n'est pas une maladie ».