Un rapport d'experts juridiques a été publié jeudi au sujet du projet de la FIFA de limiter le nombre de joueurs étrangers dans les équipes de football. Ce projet de « 6+5 » pourrait bien s’appliquer dans le futur ce qui révolutionnerait le football.
Ce projet de loi veut que l’équipe de football aligne au minimum six joueurs nationaux au minimum et donc au maximum cinq joueurs étrangers.
« Il n'existe aucune contradiction entre la règle du 6+5 et le droit européen » explique Jürgen Gramke, président de l'Institute for European Affairs (INEA), lors d’une conférence de presse tenue hier. « Le football a beaucoup changé depuis lors. Et l'arrêt Bosman a entraîné des conséquences complètement différentes de ce que les juges avaient anticipé à l'époque » poursuit Ulrich Battis.
Il reprend : « Le sport doit pouvoir définir ses propres règles. Il ne peut être régi uniquement par des règles économiques ».
Pietro Petrucci, le porte-parole de l'exécutif européen pour les questions sportives, a tenu à réagir : « Notre première impression de ce rapport est qu'il n'offre pas d'argument qui permettrait de changer l'avis de la Commission européenne. Cette règle risque de créer des discriminations ».
Ce projet de loi veut que l’équipe de football aligne au minimum six joueurs nationaux au minimum et donc au maximum cinq joueurs étrangers.
« Il n'existe aucune contradiction entre la règle du 6+5 et le droit européen » explique Jürgen Gramke, président de l'Institute for European Affairs (INEA), lors d’une conférence de presse tenue hier. « Le football a beaucoup changé depuis lors. Et l'arrêt Bosman a entraîné des conséquences complètement différentes de ce que les juges avaient anticipé à l'époque » poursuit Ulrich Battis.
Il reprend : « Le sport doit pouvoir définir ses propres règles. Il ne peut être régi uniquement par des règles économiques ».
Pietro Petrucci, le porte-parole de l'exécutif européen pour les questions sportives, a tenu à réagir : « Notre première impression de ce rapport est qu'il n'offre pas d'argument qui permettrait de changer l'avis de la Commission européenne. Cette règle risque de créer des discriminations ».