Moins d'agitateurs en 2008
Le nombre de perturbateurs de matchs de football a fortement diminué en 2008, a annoncé la cellule football du SPF Intérieur. Le ministre de l'Intérieur, Guido De Padt, a rendu les chiffres publics, lors d'une visite de travail à Denderleeuw à l'occasion du match Dender-Bruges.
De Padt: 'De nombreuses familles retrouvent le chemin des stades dont elles s'étaient tenues à l'écart en raison des violences'.
En 2008, 1.044 procès-verbaux ont été dressés contre 1.736 en 2007. Le nombre d'interdictions de stade a diminué: il est passé de 1.282 en 2007 à 1.170 en 2008. C'est également le cas des amendes imposées qui sont passées de 578.050 en 2007 à 480.850 euros en 2008.
La loi football prévoit des sanctions rapides -dans les 6 mois suivant les faits - et sévères -de 250 à 5.000 euros et/ou une interdiction de stade de 3 mois à 5 ans- afin de garantir la sécurité des rencontres de football.
Le ministre s'est, en outre réjoui, que "de nombreuses familles retrouvent le chemin des stades dont elles s'étaient tenues à l'écart en raison des violences" mais estime qu'il faut faire mieux.
Le nombre de perturbateurs de matchs de football a fortement diminué en 2008, a annoncé la cellule football du SPF Intérieur. Le ministre de l'Intérieur, Guido De Padt, a rendu les chiffres publics, lors d'une visite de travail à Denderleeuw à l'occasion du match Dender-Bruges.
De Padt: 'De nombreuses familles retrouvent le chemin des stades dont elles s'étaient tenues à l'écart en raison des violences'.
En 2008, 1.044 procès-verbaux ont été dressés contre 1.736 en 2007. Le nombre d'interdictions de stade a diminué: il est passé de 1.282 en 2007 à 1.170 en 2008. C'est également le cas des amendes imposées qui sont passées de 578.050 en 2007 à 480.850 euros en 2008.
La loi football prévoit des sanctions rapides -dans les 6 mois suivant les faits - et sévères -de 250 à 5.000 euros et/ou une interdiction de stade de 3 mois à 5 ans- afin de garantir la sécurité des rencontres de football.
Le ministre s'est, en outre réjoui, que "de nombreuses familles retrouvent le chemin des stades dont elles s'étaient tenues à l'écart en raison des violences" mais estime qu'il faut faire mieux.