Les frères Tuta enfin réunis à Bleid Molenbeek
Arrivés il y a un mois dans la capitale, Frédéric et Cédric Tuta ont été engagés pour porter le poids de l’attaque de Bleid Molenbeek. Après plusieurs semaines de tâtonnement, les deux hommes formés à Rouen qui ont grandi à Paris se sont désormais fixés dans un appartement jouxtant le “ temple ” Machtens. Ils semblent avoir trouvé leurs marques. Entretien.
>Depuis votre arrivée, vous avez changé plusieurs fois de logement. Cela a-t-il compliqué votre adaptation?
F.T.: Nous avons en effet fait plusieurs quartiers. Cela et le fait de ne pas être véhiculé ont rendu les choses difficiles. Rien que s’entraîner le matin est compliqué quand on ne connaît pas le quartier. Aujourd’hui, nous sommes toutefois installés et on se familiarise avec notre environnement.
>Sentez-vous un décalage de mentalité par rapport à la France?
C.T.: Les mentalités sont différentes mais c’est normal et les Belges sont assez cool. Cela dit, le groupe à Molenbeek est très jeune et nous n’avons pas les mêmes délires que ceux que nous avions avec nos équipiers dans nos clubs précédents.
F.T.: Mon frère et moi sommes “ très quartier ”. Nous avons notre manière d’être, de communiquer, et de nous divertir qui n’est pas la même qu’ici mais ce n’est pas plus mal.
>Avez-vous eu le temps de vous familiariser avec la ville?
C.T.: David Triantafillidis nous a invité à boire un verre et manger à l’Avenue Louise. Mais à part cela et De Brouckère, je ne connais pas grand chose.
F.T.: L’avenue Louise, c’est l’imitation belge des Champs-Elysées (rire). Nous connaissions déjà un peu Bruxelles car nous y venions parfois avec notre maison de quartier et que nous avons de la famille ici mais on commence à repérer les secteurs intéressants.
Retrouvez la suite de cet article dans l’édition de La Capitale de ce mercredi 10 octobre 2012.
Cédric et Frédéric Tuta comptent sur leur complicité pour faire gagner Bleid Molenbeek
Arrivés il y a un mois dans la capitale, Frédéric et Cédric Tuta ont été engagés pour porter le poids de l’attaque de Bleid Molenbeek. Après plusieurs semaines de tâtonnement, les deux hommes formés à Rouen qui ont grandi à Paris se sont désormais fixés dans un appartement jouxtant le “ temple ” Machtens. Ils semblent avoir trouvé leurs marques. Entretien.
>Depuis votre arrivée, vous avez changé plusieurs fois de logement. Cela a-t-il compliqué votre adaptation?
F.T.: Nous avons en effet fait plusieurs quartiers. Cela et le fait de ne pas être véhiculé ont rendu les choses difficiles. Rien que s’entraîner le matin est compliqué quand on ne connaît pas le quartier. Aujourd’hui, nous sommes toutefois installés et on se familiarise avec notre environnement.
>Sentez-vous un décalage de mentalité par rapport à la France?
C.T.: Les mentalités sont différentes mais c’est normal et les Belges sont assez cool. Cela dit, le groupe à Molenbeek est très jeune et nous n’avons pas les mêmes délires que ceux que nous avions avec nos équipiers dans nos clubs précédents.
F.T.: Mon frère et moi sommes “ très quartier ”. Nous avons notre manière d’être, de communiquer, et de nous divertir qui n’est pas la même qu’ici mais ce n’est pas plus mal.
>Avez-vous eu le temps de vous familiariser avec la ville?
C.T.: David Triantafillidis nous a invité à boire un verre et manger à l’Avenue Louise. Mais à part cela et De Brouckère, je ne connais pas grand chose.
F.T.: L’avenue Louise, c’est l’imitation belge des Champs-Elysées (rire). Nous connaissions déjà un peu Bruxelles car nous y venions parfois avec notre maison de quartier et que nous avons de la famille ici mais on commence à repérer les secteurs intéressants.
Retrouvez la suite de cet article dans l’édition de La Capitale de ce mercredi 10 octobre 2012.
Cédric et Frédéric Tuta comptent sur leur complicité pour faire gagner Bleid Molenbeek